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Patrimoine

  • A Lagruère : Le four à pain se prépare pour sa fête annuelle

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    Mardi 6 mai en fin d’après-midi, la cheminée du vieux four à pain de Roumat dans le hameau de Lamarque fumait abondamment. Et pourtant la fête avec cuisson du pain à l’ancienne n’était prévue que pour le dimanche 18 mai. « C’est normal pour chasser l’humidité » a reconnu Bernard Cazalis, bénévole de la section patrimoine du Foyer Rural, entourée des responsables. « Depuis le lundi 28 avril, tous les jours, je mets le four en préchauffe avec deux fagots de bois bien sec. Pour la cuisson du 18 mai dès 6 heures du matin et pendant 4 heures, il doit être bien sec sinon, en montant à 420 degrés il claquerait ». Le vieux four à pain de Roumat date de la fin du XIXe. La remise en service remonte au 29 juin 2008 avec le propriétaire Serge D’Hérin et le boulanger bénévole Jeannot Guiral. Le programme du 18 mai À 10 heures : randonnée pédestre, petit marché fermier, visite du four à pain et explications sur son fonctionnement. À 11 heures : vente de pains cuits au vieux four à bois. À 12 heures : verre de l’amitié. À 13 heures : repas avec réservations au 06 77 17 41 54.

  • A Sainte-Marthe : La chapelle de Saint-Sauveur peut compter sur eux

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    C’est sur un bilan positif que l’association « Sauvons la chapelle de Saint-Sauveur » a tenu sa 3e assemblée générale vendredi 28 février dans la salle des fêtes. Le rapport moral, présenté par le secrétaire, a relaté toutes les activités de 2024 et a noté les valeurs de partage, d’entraide, de joie, de bonne humeur ainsi que la forte mobilisation des membres pour l’organisation des diverses manifestations. Pour la première fois, l’ouverture des portes de la chapelle durant le week-end du patrimoine a été riche en rencontre et en échange. L’opération sera reconduite en 2025. Lauréate au budget participatif départemental Le président a rappelé que l’association avait été lauréate au budget participatif organisé en 2024 par le Conseil Départemental. La somme de 2 470 euros a permis l’achat de deux toilettes sèches et de quinze grilles d’exposition. Toutes les manifestations seront reconduites en 2025. À savoir : le loto le 22 mars, la journée champêtre le 17 mai, la soirée musicale le 19 mai, le vide-grenier le 14 septembre, le repas poule au pot le 25 octobre.

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  • La photo coup de cœur de ce jour Mardi 25 février 2025

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    Les photos coups de cœur de février 2025 sont des photos récentes en lien avec l'actualité, la nature, la faune, la flore, etc...
    - Mardi 25 février : "Une forêt d'échasses dans la Grand'Rue de Casteljaloux pour la fête des Bœufs gras !"
  • La photo coup de cœur de ce jour Lundi 24 février 2025

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    Les photos coups de cœur de février 2025 sont des photos récentes en lien avec l'actualité, la nature, la faune, la flore, etc...
    - Lundi 24 février : "Costumes traditionnels et échassiers dans les rues de Casteljaloux pour la fête des bœufs gras !"
  • A Lagruère : L'église de Saint-Juin livre ses premiers secrets et promet de nouvelles découvertes

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    Mercredi 29 janvier en début d’après-midi dans la bibliothèque municipale, les archéologues Romane Martin et Axel Fleury ont présenté au maire Jacques Verdelet, à Wendy Bougraud, responsable du service patrimoine du Conseil Départemental et aux bénévoles du Foyer Rural, le rapport des fouilles faites à l’église de Saint Juin au cours de l’été. Ce rapport très détaillé dévoile la datation de la construction de l’édifice au XIIIe siècle. Une monnaie trouvée à la base d’un pilier utilisée à l’époque d’Édouard 1er Duc d’Aquitaine de 1252 à 1272 confirme la datation. Par ailleurs la présence de deux carrelages séparés par une couche de terre peut justifier deux niveaux de circulation et des périodes d’abandon et de réoccupation de cette église pour des raisons encore inconnues. L’étude du bâti laisse apparaître l’utilisation de 3 sortes de mortier, des matériaux de réemploi et des trous placés à espaces réguliers dans les façades nord et Ouest. L’hypothèse est faite de la possible présence d’une nef latérale et d’une construction à l’entrée du porche. Les archéologues ont trouvé également des ossements humains, des fragments de poteries, de la faïence, du verre et autre mobilier. Mais cette église typique du milieu rural n’a pas révélé tous ses secrets. C’est la raison pour laquelle les archéologues envisagent de poursuivre les recherches en 2025 et de prospecter avec un radar le pourtour du bâtiment désaffecté afin de déceler d’autres vestiges et de procéder à de nouvelles fouilles en 2026. Les chantiers de jeunes bénévoles reprendront en juillet et en août pour restaurer le porche. L’association girondine Adichats est d’ores et déjà à la recherche d’un tailleur de pierre et de bénévoles. Un appel est lancé aux volontaires locaux. « Il est important de rappeler que la cloche de cette église date de 1687 et qu’elle est classée monument historique. L’abbé Graciolet a mis fin à son activité en 1792 et serait devenu maître d’école dans la commune » a conclu Jean-Marie Richon raconteur de pays