G-P5Z9FR4YL1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sainte Marthe

  • A Sainte-Marthe : Des coupes rases en forêt communale, oui mais pourquoi ?

    IMG_6215R.jpg

    Les coupes rases de cette fin d'hiver dans le massif forestier n'ont pas échappé aux utilisateurs de la forêt qu'ils soient promeneurs et vététistes. Il y en a une d'une superficie d'un hectare dans Sénestis en bordure de la départementale 289 juste avant l'aire de repos de l'A62 et une autre un peu plus à l'intérieur dans Sainte-Marthe. C'est sur cette dernière parcelle que René Séger, agent patrimonial de l'Office national des Forêts (ONF), a présenté, vendredi matin 8 mars, le pourquoi de ces coupes rases qui vont rester pendant quelque temps en régénération naturelle. «Ces coupes concernent exclusivement du chêne rouge d’Amérique âgé d'environ 50 ans» a déclaré René Séger. «C'est un problème sanitaire car les arbres ont des pourritures racinaires qui remontent le long du tronc. Ces pourritures sont dues à l’asphyxie des racines par un excès d’eau durant la période hivernale. Une fois les racines endommagées, les arbres tombent et cassent tout sur leur passage, essentiellement les chênes de pays». L'agent de l'ONF a précisé que le bois perd ainsi de sa valeur car il faut purger 1 à 2 mètres de bois pourri sur chaque grume. «Le bois des chênes rouges a une croissance très rapide d’où une tendance à supplanter les chênes autochtones. C'est une espèce qui fructifie abondamment et devient envahissante. L’idéal, après la récolte de ces chênes rouges, serait de l’éliminer par broyage des racines, et de planter d’autres espèces comme le chêne pubescent, susceptible de résister au changement climatique» a insisté René Séger. «Sur la coupe rase de Sainte-Marthe près de 500 m³ de grumes vont être retirés. Les bois exploités fournissent donc des grumes pour les scieries ainsi que du bois de chauffage et du bois énergie pour les chaufferies à bois» a expliqué Le garde de l'ONF. Il a d'ailleurs montré que le fil du bois des grumes coupées noircissait. Cette vente de bois représente une source de revenus pour les communes. Pour les 500 m³ coupés à Sainte-Marthe, un devis d'achat de 24 000 € a été proposé à la municipalité.

  • A Sainte-Marthe : Une première bougie pour Bouge, Bouquine et Joue

    AG BBJ.JPG

    L'association Bouge, Bouquine et Joue (BBJ) a soufflé sa première bougie jeudi 1er février en soirée dans la salle des fêtes en présence du maire Bernard Massias. «Depuis la création, les activités se sont ajoutées les unes après les autres en commençant par la marche» s'est félicitée la présidente Véronique Boyancé dans son rapport. «Elles seront toutes pérennisées pour 2024». La présidente a remercié la municipalité pour le prêt des salles et la communauté de communes (CCCLG) pour le prêt gratuit du matériel. Le calendrier des animations. Vendredi 9 février : concours de belote. Samedi 10 février : soirée jeux de société. Vendredi 8 mars : concours de belote. Dimanche 10 mars : journée de la femme avec stands dédiés aux femmes. Samedi 16 mars : un auteur à la bibliothèque. Samedi 6 avril : théâtre au séchoir. Dimanche 21 avril : vide-grenier. Samedi 22 juin : fête de la musique. Tous les mardis à 9 heures : marche; Tous les mercredis à 18 h 30 : yoga et tous les jeudis à 18 h 30 : gym. Inscriptions toute l'année et renseignements auprès de la présidente au 06 16 71 13 91. Le bureau de BBJ : présidente, Véronique Boyancé; vice-présidente, Yolaine Grenereau; Trésorières, Brigitte Faux et Sandrine Sauce (adjointe); Secrétaires, Michaël Leclerc et Arnaud Dalidet (adjoint).

  • A Sainte-Marthe : La chapelle de Saint-Sauveur est malade de sa toiture

    IMG_3933.JPG

    L'assemblée générale annuelle de l'association de sauvegarde de la chapelle de Saint-Sauveur s'est tenue vendredi dans la salle municipale sous la présidence de Denis Lamouroux. «Avec sa toiture et ses murs salpêtreux, la chapelle de Saint-Sauveur est malade» a reconnu le secrétaire Patrick Busolin dans son rapport. «Les résultats de nos rendez-vous annuels, comme le loto, la marche verte, le vide-grenier, les concerts et expositions, sont encourageants par la fréquentation. Notre objectif est confirmé : réussir à sauver le modeste édifice religieux, élément du maillage paroissial du secteur». Pour l'association de sauvegarde, toutes les pistes sont et seront bonnes à exploiter ou à développer pour l'année 2024 : loto, marche verte, vide grenier, concerts, expositions, halte de randonnées, chantier de jeunes et moins jeunes, sollicitations des bâtiments de France, de la Fondation du Patrimoine et de mécènes. L'histoire de Saint-Sauveur Lors de l'assemblée générale, Annie Laval, chargée de communication, a fait part de ses recherches concernant l'histoire de la chapelle de Saint-Sauveur. L’église de Saint-Sauveur a été construite au XVIIe siècle dans un style très sobre. Elle présente les caractéristiques des églises romanes de la région. Elle est élevée sur un terrain situé près du cours de l’Avance. Elle fait partie, jusqu’à la Révolution, de l’archiprêtré de Cayran, dans le diocèse de Condom. Au début du XIXe siècle, elle est rattachée à la paroisse de Sainte-Marthe. Le territoire de cette paroisse est alors compris dans la commune de Fourques-sur-Garonne. Elle en est détachée en 1857, date à laquelle est créée la commune indépendante de Sainte-Marthe. «L’association Sauvons la chapelle Saint-Sauveur travaille à réhabiliter l’histoire du territoire de Saint-Sauveur et à trouver des fonds (50 000 euros) pour les réparations de la toiture. Nous faisons donc un appel aux familles de Fourques qui ont des ancêtres inhumés au cimetière entourant la chapelle» a expliqué Annie Laval. Contact au 06 84 00 34 65 ou par mail : enigmesaintsauveur47@orange.fr

  • A Sainte-Marthe : Le club des Sept Moulins tourne bien

    IMG_4062.JPG

    C'est par un moment de recueillement en la mémoire de l'ancien président du club des aînés ruraux, Gilbert Lambrot, disparu dans l'année, qu'a commencé, samedi 20 janvier en début d'après-midi, l'assemblée générale ordinaire du club des Sept Moulins. Étaient présents aux côtés des aînés ruraux de la commune : Roger Saurin, délégué du secteur pour la fédération, Bernard Massias le maire et Karine Rouchereau, vérificatrice aux comptes. Dans son rapport d'activité, la présidente Danièle Lague a présenté le nouveau rendez-vous hebdomadaire du lundi après-midi pour la marche. «Je vous garantis que ce n'est pas de la compétition mais de la détente et de l'oxygénation» a précisé la présidente. Tous les premiers jeudis de chaque mois, les passionnés de belote et de scrabble se retrouvent dans la salle municipale des réunions. Le 4e jeudi a lieu le petit loto des adhérents. Conseil d'administration. Ont été élus pour le renouvellement du tiers sortant : Claude Goudounèche, Martine Hourdin, Pierrette Cumini. Au calendrier des Sept Moulins. Les grands lotos auront lieu les dimanches à 14 h 30 : 28 janvier, 17 mars, 19 mai, 22 septembre, 13 octobre et 1er décembre. Samedi 15 juin : sortie au cabaret L'Ange Bleu. Jeudi 5 septembre : repas poule au pot. Samedi 14 décembre : repas de fin d'année.

  • A Sainte-Marthe : Un cabinet d'ophtalmologie va s'implanter

    IMG_3628.JPG

    «Sainte Marthe est, en nombre d'habitants, la 3e commune du canton des forêts de Gascogne après Casteljaloux et Le Mas d'Agenais et la 2e de la communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne (CCCLG)». Le Maire Bernard Massias était fier de la démographie dans sa commune à l'occasion de son discours de la traditionnelle cérémonie des vœux à la population. Comme le veut la tradition dans la commune, l'aréopage de personnalités était presque au complet, samedi 13 juillet après-midi dans la salle des fêtes, avec : Hélène Laporte, députée, Julie Castillo et Aymreric Dupuy, conseillers départementaux, Raymond Girardi, président de la CCCLG, Pierre Imbert, maire de Caumont, les représentants de la gendarmerie de Tonneins et de la caserne des pompiers du Mas d'Agenais. Avec l'augmentation quasi-permanente de la population, l'achat d'un terrain entre la salle des fêtes et le carrefour de la D289, l'affouage en forêt communale, l'agrément pour travail d'intérêt général, l'opération broyage des végétaux, l'aménagement d'une salle de bibliothèque à la mairie, tous les indices sont au vert pour le maire. L'implantation d'un cabinet d'ophtalmologie avec le docteur Emmanuel Taboureau a été l'annonce phare dans le discours de Bernard Massias. «D'autres tractations sont en cours mais étant donné la jalousie extrême et mal placée de certains de mes confrères maires voisins, vous me permettrez de ne pas en dire plus» a déclaré le premier édile. L'aménagement d'un terrain de sport pour les 70 enfants de l'école, la réalisation d'une plateforme pour le carrefour avec la D289, l'application de communication «Intra-muros» et l'implication dans le domaine de la santé font partie des priorités définies par les élus. Dans les interventions des personnalités, le dynamisme de la commune a été mis en exergue. Hélène Laporte a confirmé la participation de la classe de CM2 à l'opération Le parlement des enfants avec un déplacement à Paris le jeudi 28 mars. La loi proposée par les écoliers aura pour objet : «Favoriser la pratique du sport chez tous les jeunes». Tout un programme.