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Politique

  • Au Mas d'Agenais : Les voitures ventouses autour de la halle seront verbalisées

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    Le conseil municipal s’est réuni en session ordinaire mercredi 21 mai en soirée à la mairie. La revitalisation du centre bourg tant immobilière que commerciale est au cœur de l’action municipale. L’ouverture de l’épicerie de l’immeuble Paulhac rénové a été annoncée aux élus pour le jeudi 12 juin. C’est d’ailleurs pour favoriser l’accès aux commerces autour de la halle au blé que le maire Claude Lagarde a évoqué, en question diverse, le stationnement en centre-ville. « Il y a trop de voitures ventouses qui restent en place toute la journée » a déclaré le maire. Les élus ont confirmé le plan de stationnement qui prévoit seulement une autorisation de stationnement d’un quart d’heure entre 7 h 30 et 20 heures. « Une grosse campagne d’information va être menée » a insisté le maire. « Deux agents municipaux sont assermentés et pourront désormais verbaliser au prix de 35 euros les stationnements prolongés autour de la halle ». Les deux sens de circulation dans la rue Galiane sont maintenus ainsi que le sens unique dans la rue de Biesheim. Un emplacement bleu est prévu devant le salon de coiffure. Le plan de chasse 2025-2026 a été adopté. Les tarifs 2025 à la nuitée de l’aire naturelle de camping Les Allées ont été reconduits au même prix qu’en 2024. Une convention tripartie de mise à disposition du local privé à proximité de la collégiale Saint-Vincent permet à l’association Rembrandt au Mas de s’installer pour la période estivale. Une demande de subvention au Conseil départemental dans le cadre Amendes de police a été déposée pour les travaux de sécurisation sur les départementales 143 et 6. Sur la départementale 6 c’est l’installation du feu tricolore et sur la départementale 143 entre le collège et la route de la supérette c’est un passage piéton avec busage des fossés et protections pour les piétons. Chrystelle Dubreuilh, psycho patricienne, devrait s’installer dans un local à côté de la mairie une demi-journée par semaine. Concernant l’historique de l’installation du cabinet médecins solidaires, le maire a fait une mise au point sur les démarches qu’il a effectuées.

  • Au Mas d'Agenais : Plus de 3,6 millions d'euros d'investissement cette année

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    Le conseil municipal s’est réuni mardi 15 avril en soirée, à la mairie, avec le vote du budget inscrit à l’ordre du jour. L’ambiance générale était plutôt à une confrontation entre la majorité du maire Claude Lagarde et l’opposition conduite par Pascale Villemur à moins de 12 mois des élections municipales de 2026. D’un côté le maire et sa majorité proposaient de poursuivre les investissements pour la revitalisation du centre bourg et de l’autre une opposition qui avait opté pour un vote contre à la carte. En première partie du conseil, l’opposition a approuvé le compte de gestion 2024 mais a voté contre le compte administratif 2024 de la commune ainsi que l’affectation des résultats sur l’exercice 2025.

    L'opposition vote contre

    Les taux d’imposition de l’exercice précédent ont été maintenus pour 2025. Le budget primitif s’équilibre en dépenses et en recettes à hauteur de 2 026 683 euros pour le fonctionnement soit - 5,2 % par rapport à 2024 et à 3 631 244 euros pour l’investissement, soit + 0,9 %. Les dépenses pour ce dernier volet s’orientent notamment sur la réhabilitation de l’immeuble place du marché (535 300 euros), l’aménagement de l’immeuble Paulhac (294 383 euros), l’achat d’un terrain pour l’agrandissement du stade Norbert Teyssier (82 500 euros), la création de l’habitat partagé de l’îlot Saint Patrick (1 579 000 euros), les installations de voirie pour l’implantation de feux récompense rue Garonne (6 000 euros). Sont également prévus cette année, l’achat de matériel (132 100 euros), des travaux pour les bâtiments communaux (17 000 euros), la révision et la modification du plan local d’urbanisme (PLU) (18 500 euros). L’opposition a voté pour les attributions des subventions communales et les taux d’imposition des taxes directes locales. Mais Pascale Villemur, Michel Naïbo et Florence Fournier-Lamothe ont voté contre ce budget primitif en invoquant l’absence de réunion anticipée de la commission des finances et la non-réception des documents dans le délai de 12 jours imposé par la loi. La suite est à venir lors des prochains conseils municipaux avant mars 2026.

  • A Fourques : Sur plus d'un million budgété, à peine 56 000 euros ont été dépensés

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    Il y avait comme un air de fin de mandature, mardi soir 1er avril à la mairie lors du conseil municipal. L’adjoint au maire Jean-Marie Marco, responsable des finances a déclaré lors de la présentation du débat d’orientations budgétaires : « en 2025, ce sera notre dernier budget, car en 2026, c’est fini pour notre mandat ». Le maire Jacques Bilirit a confirmé qu’un débat d’orientations budgétaires n’était pas obligatoire pour des communes comme Fourques. « C’est néanmoins intéressant et c’est pour cela que nous le faisons pour la première fois. Le vote du budget aura lieu le mercredi 9 avril ». Le maire et son adjoint se sont partagé la présentation de la situation financière de la commune au 31 décembre 2024. Ils ont aussi essayé d’être très pédagogues aux questions de l’autre adjoint William Miallet demandant : « comment avoir des excédents ? » et « d’où viennent les recettes en investissements ? » Peu d’investissements en 2025 Le maire Jacques Bilirit a déclaré que le budget allait être de plus en plus contraint, que les dépenses d’énergie étaient en augmentation et que les recettes stagnaient. « Les collectivités seront impactées par les incertitudes nationales et internationales » a-t-il regretté. Les dépenses réelles de fonctionnement ont augmenté de 7,5 % en 2024. Les principales opérations d’investissements se sont résumées à un total de 56 721 euros alors que le budget voté le 8 avril 2024 prévoyait 1 099 139 euros de dépenses. « Cela a été très léger en réalisations » a reconnu Jacques Bilirit. Cadre budgétaire 2025 « Dans le budget de fonctionnement 2025 qui se monterait à 1 265 779 euros, l’excédent de fonctionnement est de 179 331 euros » a retenu Jean-Marie Marco. Il a ensuite posé la question aux élus : « Faut-il conserver cette somme en fonctionnement par sécurité ou faut-il l’utiliser en investissement pour ouvrir de nouveaux programmes ou alors faut-il emprunter ? ». Pour le vote du budget, les taux d’imposition devraient être maintenus. Le budget investissements 2025 se monterait à 1 344 22 euros.

    Les dépenses d’investissements prévus pour le budget de 2025

    Remboursement d’emprunt : 39 000 euros ; caserne des pompiers de Marmande : 6 200 euros ; Fin de l’aménagement de l’aire de jeux : 15 000 euros ; Matériel pour le football : 64 522 euros ; Aménagement du bourg : 430 000 euros ; Cimetière : 7 000 euros ; Église : 90 000 euros ; Café du Canal : 640 000 euros ; PLU : 40 000 euros.

  • Au Mas d'Agenais : Majorité et opposition les yeux rivés vers le prochain mandat

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    Le conseil municipal s’est réuni en session ordinaire jeudi 27 février en soirée à la mairie. Parmi les délibérations à l’ordre du jour, ce sont les investissements pour les projets immobiliers au cœur du village qui ont amené des débats entre la majorité du maire Claude Lagarde et l’opposition conduite par Michel Naïbo. Concernant le financement de la réhabilitation de l’immeuble Paulhac pour 350 000 euros, la construction de la salle associative de l’îlot Saint Patrick pour 280 000 euros et l’aménagement de l’espace de médiation Rembrandt 110 000 euros, le maire a proposé un prêt de 740 000 euros sur 25 ans auprès de la banque des territoires pour refaire la trésorerie. « La capacité d’emprunt de la commune sera ainsi diminuée pour le prochain mandat » a avancé Michel Naïbo. « C’est faux » lui a répondu le maire. « Notre dernier emprunt en cours se termine le 14 avril 2025. Contrairement aux projets de la municipalité précédente, les nôtres seront couverts à 50 % par les loyers des logements annexés ». Lors du vote séparé pour les trois emprunts, les trois élus de l’opposition se sont abstenus. Unanimité pour la suite des délibérations Pour le projet de création d’un deuxième terrain d’entraînement au stade Norbert Teyssier, les élus ont validé le plan de financement pour 192 000 euros HT avec une part d’autofinancement d’environ 80 000 euros. « Mais si nous n’avons pas les subventions demandées auprès de la DETR, la Facil, la Fasa et l’ANS, nous ne ferons pas le terrain » a insisté Claude Lagarde. Une machine à bois sera achetée à la commune de Virazeil pour 2 500 euros. Pour la loi climat et résilience concernant l’artificialisation des sols, la commune a consommé 0,79 hectare entre 2022 et 2025. Pour atteindre l’objectif de 50 % de réduction de la surface urbanisée jusqu’en 2030, il reste une disponibilité de 4,5 hectares. En raison d’un accroissement temporaire et saisonnier d’activité, les deux emplois aux services techniques et à la piscine ont été validés. La convention tripartite avec VGA et l’association Médecins Solidaires a été validée.

  • A Fourques : Le projet de réhabilitation du Café du Canal revu à la baisse

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    Le conseil municipal s’est réuni en séance ordinaire à la mairie, mardi 14 janvier en fin de journée, sous la présidence du maire Jacques Bilirit. Parmi les délibérations à l’ordre du jour, la réhabilitation de l’ancien Café du centre acheté en 2017 et baptisé Café du Canal depuis juin 2023 était attendue par la population. Le projet initial, présenté publiquement à grand renfort de communication avec un montage vidéo comprenant deux médiathèques, des espaces de coworking à l’étage avec un accès par escalier extérieur, avait été suspendu pour des contraintes de construction. Les élus ont donc revu à la baisse mardi soir leur copie avec un projet de réhabilitation beaucoup plus modeste avec une phase 1 pour laquelle seul le rez-de-chaussée comprenant la salle de café et celle de bal sera rénové. Le nouveau montant des travaux s’élève à 430 000 euros HT avec une part restant à charge à la commune à environ 120 000 euros. La phase 2 se fera plus tard. Concernant le projet d’habitat partagé dans le bâtiment de l’ancienne poste, le bailleur social Habitalys en sera gestionnaire pour un projet d’environ 1 800 000 euros. Un concours d’architectes aura lieu en 2025 pour un appel d’offres en fin d’année, le début des travaux en 2026 et la remise des clés en 2027. La partie logements sociaux derrière l’habitat partagé sera elle aussi revue quantitativement à la baisse pour tenir compte des refus des propriétaires par rapport aux expropriations envisagées. Par ailleurs, le travail de reprise des maisons du bourg en bordure du Canal de Garonne se poursuit avec notamment l’achat de la maison Glandis. Trois autres seront acquises dans les prochains mois. Pour les zones d’accélération des énergies renouvelables (ZAEnR), les élus ont défini trois secteurs après la réunion publique et le registre en mairie qui n’a enregistré aucunes consultations. Pour le photovoltaïque sur les toitures ce sera toutes les habitations du village ; pour l’agrivoltaïque la zone du plateau au lieu-dit Coustey ; pour le réseau chaleur biomasse géothermie hydroélectricité le bourg du village.

    Léa Albeirola, 31 ans, de formation plaquiste et peintre en bâtiment, a été recrutée comme agent de service technique polyvalent. Elle remplacera Daniel Patissou qui après 39 ans au service de la mairie a pris sa retraite depuis le 31 décembre 2024.