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A Fourques, La rectrice, les écoliers et la danse

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«Notre école, faisons-la ensemble». Telle est la démarche portée par l'Education Nationale dans le cadre des travaux du Conseil National de la Refondation. Jeudi matin 8 juin, la rencontre d'Anne Bisagni-Faure, rectrice de la région académique Nouvelle-Aquitaine, avec les écoliers des cours moyens 1 et 2 de l'école primaire en est une illustration au niveau local. Il y avait aussi Christophe Combes, inspecteur de la circonscription (IEN), Jacques Bilirit, maire, Séverine Keller, directrice de l'école, Stéphane Lepetit, maître de la classe, Jean Birepinte, président de la section Arac, Jean Masse, danseur professionnel de la compagnie Epiphane et des parents d'élèves. «Un bal populaire et un café solidaires», tel est le titre du projet présenté par l'école de Fourques qui fait partie des 78 validés en Nouvelle-Aquitaine (7 en Lot-et-Garonne) et financés par le fonds d'innovation pédagogique. En fin de rencontre jeudi matin, la directrice Séverine Keller a d'ailleurs reçu des mains de la rectrice la dotation de 5 000 € sur le projet danse estimé à 10 000 €. «Face à l'éloignement de l'offre culturelle et artistique, l'école a souhaité, dans le cadre du projet de l'établissement scolaire, organiser un bal populaire qui permettrait l'apprentissage des danses de salon par un intervenant extérieur de la compagnie Epiphane» a déclaré la directrice. «En parallèle, les élèves ont développé leurs connaissances de l'histoire du village et créé des liens intergénérationnels grâce à l'organisation d'un café solidaire». Ce parcours d'éducation artistique et culturelle a mobilisé tous les élèves de la petite section au CM2. Le temps fort de la matinée de jeudi restera la démonstration d'une danse apprise par les écoliers, le cercle circassien, avec au final une invitation aux personnalités. Tous se sont prêtés bien volontiers aux évolutions. «On est fier de vous accompagner. Ce que vous avez gagné là dans la relation garçon fille, il faudra le continuer» a conclu la rectrice lors de la phase d'échanges. «Nous ne sommes qu'au début de l'histoire» a insisté le maire.

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