Vendredi matin 30 août, c’était jour de pré-rentrée pour les enseignantes du RPI Calonges-Lagruère. Claire Ménochet, directrice de l’école des bords du Canal de Garonne a accueilli dans son établissement Nadège Bernardin, directrice à Calonges, et ses deux nouvelles collègues. Élise Caubet qui était l’an passé remplaçante à l’école de Marmande Lolya, aura en charge les 26 élèves de maternelle en PS et MS. Bénédicte Zelmoni, arrive de Haute-Savoie, et sera chargée des 15 élèves de GS et CP. Nadège Bernardin enseignera aux 19 élèves de CM1-CM2 et Claire Ménochet aux 18 élèves de CE1-CE2. « À l’école de Calonges, de nombreux travaux et achats de matériel ont été effectués » s’est félicitée Nadège Bernardin en énumérant le traçage des lignes dans la cour, du mobilier pour la classe maternelle, un ordinateur portable et un vidéoprojecteur. Pour l’ensemble des élèves du RPI, les projets pédagogiques tourneront autour des journées culturelles, sportives et culinaires. Les écoliers participeront aussi à un concert pédagogique de jazz « Duo Loryx » à Marmande.
Calonges
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A Calonges-Lagruère, Deux nouvelles enseignantes pour le RPI
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A Calonges : Les écoliers ont porté la flamme olympique
« Allez go go go, voilà les JO ». C’est par ce chant final vraiment d’actualité que tous les élèves du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) Calonges-Lagruère ont terminé, vendredi 28 juin en fin de journée, le spectacle de fin d’année dans la cour de l’école. « Cette année c’est sur le thème de l’olympisme à travers les cinq continents que les élèves des quatre classes vont évoluer » a déclaré Nadège Bernardin, la directrice, en ouvrant la soirée. Les plus petits de la classe maternelle de Caroline Jacquelain ont présenté deux danses sur le Japon et la Côte d'Ivoire. Pour Amandine Doazan de la classe de GS-CP, l’Afrique et l’Antarctique avec la danse des Pingouins étaient au programme. Les élèves de Claire Ménochet du CE1-CE2 ont interprété « Je suis fou » de Vianney et ont évolué sur les rythmes indiens et américains. C’est enfin les plus grands du CM1-CM2 de Nadège Bernardin qui ont choisi le sirtaki grec, le Haka de Nouvelle-Zélande et une polka piquée. Tous se sont retrouvés au final dans « une Flashmob » très applaudie par le nombreux public.
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A Calonges : Les pétanqueuses rêvent du championnat de France
Y aura-t-il une équipe calongeaise au championnat de France de pétanque à côté de Lille ? «Tout est encore possible» a reconnu, jeudi 18 avril, le président Joël Marcadet. L'équipe féminine, composée de Martine Marcadet, Josette Dall Antonia et Danielle Teillac, a terminé à la seconde place du championnat départemental les 6 et 7 avril. Elles ont été battues en finale par la triplette de Monflanquin. Avec ce titre de vice-championnes départementales, les trois calongeaises sont sélectionnés pour le championnat régional à Rochefort-sur-Mer en Charente-Maritime le dimanche 19 mai. Le championnat de France aura lieu les samedi 22 et dimanche 23 juin à Sin-le-Noble dans le Nord. La pétanque calongeaise a engagé d'autres équipes en championnat 47 des clubs. En vétérans 3, Calonges rencontrera Le Mas, Pindères, Casteljaloux, Pardaillan, Marmande 1 et 2. En division 2 la poule 5 est composée de : Calonges, Duras 1, Mauvezin 1, Castelnaud sur Gupie, Le Mas et Verteuilh. Dans la poule 6, on trouve : Calonges, Duras 1, Mauvezin 1, Castelnaud sur Gupie, Le Mas et Verteuilh.
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A Calonges : Un mini-centre commercial en milieu rural
Le nouveau centre commercial dans le bourg entre la D143 et la salle des fêtes après le carrefour central se remplit progressivement. Après le salon de coiffure et l'épicerie calongeaise, c'est au tour de la laverie. «C'est un service de plus» s'est félicité François Néraud, le maire de la commune, jeudi 29 février au lendemain de l'ouverture. Laurent Heurter, gestionnaire du site, a assuré une visite commentée. «La laverie comprend deux machines à laver de 8 et 18 kilogrammes ainsi que deux sèche-linge» a détaillé Laurent Heurter. «La laverie calongeaise sera ouverte 7 jours sur 7 de 7 heures à 21 heures». «Très prochainement des casiers de réception de commandes de colis par Internet seront opérationnels» a ajouté Laurent Heurter. «Pour la boulangerie dans le 4e local ainsi que le restaurant dans le séchoir, il faudra attendre un peu». Désormais pendant le lavage de leur linge, les utilisateurs pourront prendre rendez-vous chez la coiffeuse voisine ou effectuer des emplettes de produits locaux à l'épicerie. Un véritable mini-centre commercial en milieu rural.
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A Calonges : L'élevage de bovins, une histoire de famille
Les vaches allaitantes qui ont chacune leur nom, les petits veaux et le taureau de Nicolas Mezzavilla, éleveur au lieu-dit Boutet, ont reçu des visiteurs inhabituels, vendredi matin 2 février. Au lendemain ou presque des manifestations des agriculteurs, une visite de l'exploitation était organisée pour les élus locaux et départementaux. Étaient présents Julie Castillo et Aymeric Dupuy, conseillers départementaux du canton, Patrick Yaouanc, maire adjoint de la commune et Jacques Verdelet, maire de Lagruère. Nicolas Mezzavilla a acheté la ferme en 2017. Il a été rejoint en 2019 par son neveu Anthony Colombi qui lui s'est installé au lieu-dit Foussat dans la commune voisine de Lagruère. «Nous sommes très contents de voir que des jeunes s'installent» ont avoué Jean-Claude Mezzavilla et son épouse, parent de l'un et grand-parent de l'autre. «Chacun vend ses produits et est autonome financièrement. Nous ne sommes pas en GAEC. Nos deux élevages sont ensemble avec 45 têtes» ont déclaré les deux jeunes éleveurs titulaires d'un brevet d'études professionnelles agricoles (BEPA). La visite des exploitations de Nicolas Mezzavilla et de son neveu était une opération de vérité sur le quotidien à la ferme. «Nous étions sur les barrages à Marmande la semaine dernière» a avoué Anthony Colombi. «Mais aujourd'hui on ne parle pas de syndicats» a ajouté Nicolas Mezzavilla. «On ne veut pas d'argent, on veut simplement que l'on nous paye au juste prix de ce que l'on produit». Les parents retraités ont reconnu avoir subi des crises pendant leur carrière. «À chaque fois on s'est restructuré et adapté». Dans son exploitation, Nicolas Mezzavilla diversifie ses cultures avec du tabac et des céréales qu'il transforme pour ses animaux. Anthony Colombi à Lagruère, produit 14 cultures différentes dans le maraîchage. Il va d'ailleurs bénéficier de 5 hectares attribués par la municipalité sur la ferme de compensation pour l'extension de la gravière. «Dans mon travail je m'épanouis mais on n'existe que parce qu'on fait de la polyculture élevage avec énormément d'heures» a avoué Nicolas Mezzavilla.