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  • A Villefranche-du-Queyran, La dernière née de l'entreprise Drouaire bientôt envoyée aux Télécommunications belges

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    «On trouve au moins une machine Drouaire dans chacun des cinq continents de l'Allemagne à la Chine en passant par le Bostwana, le Chili et les Etats Unis». C'est avec une satisfaction à peine dissimulée que Philippe Libert, président de l'entreprise Drouaire et fils SAS depuis juillet 2021, a présenté, aux élus locaux, la petite dernière machine de câblerie sortie des ateliers du Queyran, mercredi matin 4 janvier. Étaient présents Jean-Marie Gouyou, maire de la commune et son adjointe Christiane Piazzon, Raymond Girardi, président de la CCCLG et Aymeric Dupuy, Conseiller départemental.

    1000 heures de travail

    «Déroulez et enroulez en toute simplicité» telle est la citation de présentation de l'entreprise Drouaire créée en 1979 et disposant d'une usine moderne de 4 000 m². «Le dernier enrouleur dérouleur que nous allons livrer aux télécommunications en Belgique représente près de 1 000 heures de travail dont 200 heures de conception, 600 à 700 heures de montage dans nos ateliers» a déclaré Philippe Libert accompagné d'Emmanuel Drouaire, directeur général et de Sylvain Drouaire, directeur commercial. «La machine peut dérouler des tourets de câbles jusqu'à 3,50 mètres de diamètre et de 15 tonnes». Du châssis métallique à l'armoire électrique en passant par la programmation informatique tout est réalisé dans les ateliers du Queyran. «Nos ateliers fabriquent des ensembles usinés et chaudronnés auxquels nous intégrons des matériels fournisseurs spécifiques» a insisté Philippe Libert. Un partenariat en fournitures métalliques spécifiques existe avec Métal Mobil, une autre entreprise du Val de Garonne implantée au Mas d'Agenais. «Avec l'entreprise familiale Drouaire qui compte une vingtaine de salariés, nous avons un des fleurons industriels de la communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne» a reconnu Raymond Girardi. «Et nous allons tout faire pour la garder sur notre territoire» a ajouté le maire Jean-Marie Gouyou. Avec une progression de 10 à 15 % par an, de nouveaux investissements dans l'atelier de fabrication, tous les signaux sont au vert pour l'entreprise queyrannaise.

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