Dans le cadre du Forum du numérique qui se tiendra vendredi 23 et samedi 24 mai, les 20 élèves de la classe de GS-CP-CE1 de Christian Da Silva de l’école élémentaire préparent une mini-exposition sur le thème « La communication avant le téléphone ». Pour enrichir leur travail, ils ont reçu dans la classe, lundi matin 12 mai, la visite de Jean-Claude Leclerc, fondateur des « Jardins de la falaise » et membre d’une association locale sur les pigeons voyageurs. Isabelle Robinault, 2e adjointe au maire Raymond Girardi, a participé aussi à la rencontre. « Comment on communiquait avant ? » a demandé le colombophile au début de son intervention. « Tout a commencé en - 490 av JC lorsque les Grecs ont eu besoin de porter un message de victoire. La course à pied d’alors, ancêtre du marathon, a été le premier moyen de communication » a expliqué Jean-Claude Leclerc. « S’en sont suivi la malle-Poste vers 1800, les tours Chappe vers 1835, le télégraphe morse, l’Aéropostale de Saint-Exupéry vers 1920. Et tout récemment pour l’élection du nouveau pape Léon XIV, la fumée blanche sortant de la Chapelle Sixtine a servi aussi à communiquer ». Le pigeon voyageur Concernant l’utilisation des pigeons voyageurs comme moyen de communication, Jean-Claude Leclerc a évoqué la Colombe de Noé symbole de la paix avant d’en arriver au pigeon Vaillant, héros de la Grande Guerre lors de la bataille de Verdun en 1916. « Un pigeon voyageur revient toujours là où il est né » a-t-il insisté pour expliquer le phénomène qui est maintenant un véritable sport. Les concours de colombophilie s’organisent du mois d’avril à fin juillet sur des distances allant de 100 à 750 kilomètres. Jean-Claude Leclerc, originaire du Nord, possède une centaine de pigeons voyageurs qu’il entraîne régulièrement sur des distances de 40 kilomètres. « Le pigeon voyageur que nous allons lâcher ensemble aujourd’hui a terminé premier du Sud-Ouest au concours de Calais début mai. Il est venu en voiture avec moi mais il va rentrer tout seul » a conclu Jean-Claude Leclerc avant l’envol du champion.

« Si les grands projets de la communauté de communes se réalisent avec un total de 1 000 emplois à venir et plus d’un milliard d’investissements, les impôts fonciers baisseraient de 50 % ». En période des vœux municipaux, le discours du maire Raymond Girardi affichait un réel optimisme dimanche 19 janvier en fin de matinée dans la salle municipale. Et derrière les propos du maire, le président de la CCCLG n’était pas loin. Après un rappel des réalisations antérieures, Raymond Girardi a évoqué celles programmées pour 2025. « L’amélioration de la route sur 400 mètres vers Poussignac est un gros projet » a insisté le maire. Les enfants de l’école ont constaté qu’il y avait trop de mégots de cigarettes sur le boulodrome. Des cendriers devraient être installés. Une fresque sous le préau de l’école, le pontage de la route de Guitard, les chemins de Valette et de Cantaï, le nettoyage des toitures des églises du bourg et de Figues, sont autant de domaines pour les réalisations à venir. Les discussions se sont prolongées ensuite autour de la traditionnelle galette des rois.

Vieille de plus de 1 000 ans, l’église Saint-Etienne a retrouvé ses façades rénovées avec l’enlèvement des échafaudages installés au début des travaux en juillet 2023. Jeudi 2 janvier en fin de matinée, le maire Raymond Girardi a présenté les travaux terminés qui se sont étalés sur une période de 18 mois en trois tranches. « Le montant des travaux comprenant le renforcement des contreforts, le crépissage avec les joints, la rénovation de la petite chapelle et le changement du mouton de la cloche assurant la mise en volée, se monte à 344 000 euros » a précisé Raymond Girardi. « Pour cette dépense équivalente à un budget annuel de la commune, nous avons obtenu 65 % de subventions de la part de l’État, de la Drac, des conseils départemental et régional. L’essentiel des travaux est réalisé ». « Comme le nouvel évêque d’Agen nommé en mai 2024, Monseigneur Alexandre De Bucy, a annoncé son intention de découvrir à pied le Département, nous allons l’inviter à passer par notre village, pas loin de la SO vélo, pour visiter l’église Saint-Etienne » a lancé Raymond Girardi.

L’assemblée générale de l’Union Bouliste Argentonnaise s’est réunie dimanche 8 décembre en matinée dans la salle des associations en présence du maire Raymond Girardi. Après avoir remercié les licenciés présents, le coprésident Jean-Paul Cazaubonne a fait un bilan de la saison écoulée. « Une saison remarquable au niveau de la participation pour les trois concours au niveau local ». L’Union bouliste termine la saison 2024 avec 25 licenciés dont 18 seniors masculins, 6 seniors féminines et un jeune. Trois joueurs licenciés au club sont classés en honneur. Projets pour 2025 Le tarif des licences 2025 reste inchangé à 45 euros pour les seniors masculins, 25 euros pour les féminines et gratuit pour les jeunes. Les divers concours officiels et manifestations prévues sont programmés pour : dimanche 20 avril (Pâques), doublettes promotion ; jeudi 8 mai le matin, tête à tête et après midi doublettes ; samedi 14 juin : 12 heures de pétanque avec inscription à l’avance.

Le nouveau bureau de l’Union bouliste

Après plus de 35 ans passés à la tête du club, le coprésident Jean Paul Cazaubonne a décidé de passer la main. Le nouveau bureau est composé de : Présidente, Nathalie Cazaubonne ; Vice – président : Pascal Jardet ; Secrétaire : Maeva Jardet ; Trésorier : Jean-Paul Cazaubonne ; Membres : Jérôme Foucaud, Annie Girardi, Alexandra Foucaud.

Jeudi 12 décembre en début d’après-midi, la famille d’Yvonne Barrère, des habitants de la commune et les élus se sont réunis dans la salle municipale pour fêter le 100e anniversaire de celle qui est la doyenne de la commune. « C’est comme un rayon dans le ciel d’azur » a déclaré le maire Raymond Girardi en référence à la magnifique journée ensoleillée de jeudi. Yvonne Barrère est née le 12 décembre 1924 à Tonneins dans une famille de 7 enfants. Son père a été d’abord colporteur en mercerie avant d’acheter avec son épouse une ferme tournée vers la polyculture à Aiguillon. À l’âge de 25 ans, Yvonne Barrère travaillait dans un salon de coiffure dont elle a épousé, à Agen, le patron Marceau. De cette union sont nées deux filles Nicole et Colette. Yvonne Barrère vit actuellement avec sa fille Colette à Argenton. « Tu as toujours été une mère exemplaire, toujours à l’écoute et disponible » a reconnu sa fille Colette. Après avoir reçu des cadeaux de la part de la municipalité, Yvonne Barrère a été la première à mordre à pleines dents dans la pièce montée.