L’assemblée générale de l’association sportive Mas XIII s’est tenue vendredi 6 septembre en fin de journée dans la salle du club attenant à la salle des fêtes. Le président Jean-Claude Bordes a accueilli Claude Lagarde et Jacques Pin, maires respectifs du Mas d’Agenais et de Sénestis mais aussi Francis Duthil, trésorier de la fédération française et Philippe Ortolan, président du comité départemental. « Le Mas XIII n’est pas mort au Mas après le départ de certains dans une commune voisine » a déclaré Jean-Claude Bordes. « Les entraînements en rugby loisirs existent tous les mercredis de la mi-septembre jusqu’en juin. Nous avons participé à un tournoi loisirs à Marmande. Nos effectifs sont de 21 licenciés, 10 dirigeants et 13 adhérents ». Pour les dates programmées en 2024-2025, l’association sportive Mas XIII a participé au forum des associations massaises samedi 8 septembre. Les autres dates prévues : la reprise dès le mercredi 11 septembre, une soirée poule au pot le samedi 9 novembre, un réveillon pour le 31 décembre (à l’étude), la fête des 50 ans du titre de champion de France le samedi 7 juin 2025. « C’est au Mas, berceau historique du XIII local que nous fêterons ce titre » a insisté le président. Claude Lagarde et Lydie Mathieu, élus massais, se sont félicités « du bilan sportif et humain très positif ». Philippe Ortolan, président du comité départemental de rugby à XIII, a remercié les dirigeants massais d’avoir maintenu l’activité en déclarant : « la scission on n’en parle plus, c’est du passé ». Il a invité à revenir vers du sportif avec éventuellement une école de rugby et le licenciement de tous les pratiquants en loisirs. Francis Duthil a retenu le principe de la fête du cinquantenaire du titre de champion de France au Mas d’Agenais. Il a aussi insisté « pour pratiquer autrement qu’en loisirs ». Le bureau de l’AS Mas XIII. Président : Jean-Claude Bordes ; Vice-président : Stéphane Zava ; Secrétaires : Stéphane Grimard et Serge Zordan (adjoint) ; Trésoriers : Christophe Villacampa et Alain Bordes (adjoint).
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A Sainte-Marthe : La première pierre du cabinet d'ophtalmologie est posée
« Enfin, nous y voilà ». Le maire Bernard Massias ne cachait pas sa satisfaction, vendredi 6 septembre en fin de journée pour la pose du premier parpaing du futur cabinet d’ophtalmologie du docteur Emmanuel Taboureau sur le site même à l’angle de la route de la Garenne et de celle des bords d’Avance. Il était entouré du docteur Emmanuel Taboureau et de Raymond Girardi, président de la communauté de communes des Coteaux et Landes de Gascogne (CCCLG). Les élus du conseil municipal de la commune étaient présents ainsi qu’un grand nombre de maires de la CCCLG. « Ce projet d’installation est né en 2020 » a déclaré Bernard Massias. « Après des mois de tractations avec le propriétaire du terrain, puis la collaboration étroite des techniciens urbanisme de la CCCLG, le permis de construire a pu être déposé et officialisé par le Sous-Préfet. Le Préfet a fini par accorder une dérogation pour construire sur un terrain qui n’était pas dans la carte communale constructible au départ ». Raymond Girardi a fait part, dans son intervention, de la très grande satisfaction de la CCCLG pour l’installation d’un professionnel de santé sur son territoire. « Cela contribue à son attractivité. Si d’autres professionnels de santé veulent venir, nous ferons tout pour répondre à leurs attentes » a insisté le président de la CCCLG, tout en reconnaissant qu’un autre projet avec des médecins généralistes est en réflexion. Emmanuel Taboureau a reconnu avoir été impressionné par l’enthousiasme des élus. « Dans un premier temps, je vais rester en cohérence avec ma spécialité d’ophtalmologue et mon objectif est de faire un roulement avec plusieurs collègues ». Le docteur Taboureau exerce actuellement entre Bordeaux, Villeneuve-sur-Lot et Marmande. Après la pose du premier parpaing, l’inauguration est prévue en 2025. « Devant une problématique de lutte contre les déserts médicaux, ne serait-il pas judicieux de mettre de côté les égaux surdimensionnés de certains, afin de lutter ensemble, sans histoire de frontières communautaires pour un projet qui nous tient à cœur ? » a conclu Bernard Massias.